Camilla ~ I will survive and be the one who's stronger.

Camilla Dianna Alvarez

Bonjour! Je m'appelle Camilla Dianna Alvarez mais mes amis me surnomment Cam. Je suis né(e) à Los Angeles le 09/02/1980 et de ce fait j'ai donc 38 ans. Côté coeur, je suis Célibataire, sachant que mon orientation sexuelle est Bisexuelle. J'appartiens au groupe Nice Guys Finish last. Je suis une personne serviable, douce, déterminée, aimante; mais aussi jalouse, têtue, un peu possessive, bornée.

L'union d'une femme et d'un homme, d'une américaine et d'un mexicain, une avocate et un acteur mondialement connu... C'est ainsi que je suis venue au monde dans la belle ville de Los Angeles. Deux parents aimants qui ont donné naissance à leur premier et unique enfant, une famille aimante, unie et plus soudée que jamais. Seulement, tout le monde le sait. Le bonheur n'est en général que de courte durée. Je n'avais que sept ans quand ma mère a été diagnostiquée d'un cancer. Elle s'est battu pendant trois longues années mais elle avait la vague impression que son combat ne mènerait à rien. Elle s'est pourtant démenée afin de profiter de mon père ainsi que de moi mais elle a malheureusement succombé de sa maladie... Elle nous a laissé rien que tout les deux. Mon père a perdu une femme et j'ai perdu une mère... Elle m'a toujours terriblement manqué, surtout que mon père travaillait énormément et me laissais toujours à ma tante qui s'occupait toujours très gentiment de moi. Je ne manquais de rien excepté de l'amour de mon père absent et de ma mère partie trop tôt.

À l'adolescence, j'ai suivi des études de langues avant de me diriger vers le théâtre. Je voulais être actrice tout comme mon père. J'ai commencé par de petits rôles de figurant ainsi que de personnages secondaires avant de me voir offrir, à l'âge de 21 ans, un gros rôle dans une petite série. J'étais bien sûr très ravie, voyant ce rôle comme l'opportunité d'une vie que j'ai bien évidemment accepté. J'ai emménagé dans un grand appartement, toujours à Los Angeles, afin de prendre réellement mon envol en vivant seule. Je jouais ce gros rôle à mon plus grand bonheur, découvrant ainsi un monde que j'adore mais aussi un autre que je déteste : les paparazzis, qui photographient et filment vos moindres faits et gestes. Ceux qui ne vous laissent jamais avoir une vie privée digne de ce nom, qui ne vous laissent pas avoir vos petits moments tranquilles. Ça ne m'empêche pas d'aimer ce que je fais, ce que je vis.

À 25 ans, j'ai quitté Los Angeles afin de vivre un peu à New-York, une ville où j'ai toujours rêvé de vivre. Là-bas aussi, j'ai décroché de beaux rôles, que ça soit des films ou des séries. C'est aussi là-bas que j'ai évité de justesse une balle qui m'était destinée. J'avais déjà reçu des menaces de morts mais ça ? Non, ça ne m'était jamais arrivé. Il a été directement arrêté mais ça m'a beaucoup marquée. Je ne me sentais en sécurité nulle part et j'ai finalement engager un garde du corps le temps de me sentir un peu plus à l'aise, le temps de pouvoir reprendre réellement confiance. Ça n'a pas été simple, voir même impossible. J'ai finalement quitté New-York vers mes 30 ans afin d'aller vivre à Albuquerque où j'espérais reprendre un tout nouveau départ.

À mon arrivée ici, je me suis découvert un nouveau rêve : fonder une famille. C'est compliqué pour moi, je ne sais jamais qui tient réellement à moi ou qui ne voit en moi l'amie dont on est fier de parler parce qu'elle est connue dû aux rôles qu'elle obtient et rien que ça, ça m'a toujours fais énormément douter. Bien sûr, j'ai déjà rencontrer des gens qui n'en avaient qu'au nom que je pouvais avoir et qui ne s'intéressaient pas à celle que je suis au plus profond de moi-même. J'ai vécu quelques relations assez courtes avant de rencontrer une femme formidable, Callie. C'était il y a environ deux ans et au départ, nous étions de très bonnes amies toutes les deux. J'ai tenté de l'aider et de la soutenir au mieux. Lorsque j'ai commencé à éprouver des sentiments à son égard, elle m'a mit un gros râteau. Je pouvais comprendre vu sa situation mais j'avouerais que ça fait mal quoi.

Cependant, je n'allais pas insister et j'ai laissé le temps faire son boulot, tout simplement. Qui plus est, peu après son râteau, j'ai dû partir plusieurs mois sur le tournage d'un film et je n'allais pas refuser cette opportunité après tout. C'est à mon retour que les choses se sont montré très ambiguës entre Callie et moi mais je ne reparlais pas de ce râteau. J'agissais comme si de rien était, comme si tout était normal tout simplement. On a finalement décidé de se laisser une chance toutes les deux afin de voir où ça nous mènerait.

Il y a quelques mois, j'ai tenté une FIV. Qui ne tente rien n'a rien après tout, pas vrai ? Je n'espérais rien avant d'être sûre que ça fonctionne. À ma plus grande joie, tout a bien fonctionné et je suis bien enceinte d'un petit garçon que j'attend avec une grande impatience. Un petit garçon que j'ai tant désiré et pour qui j'éprouve déjà un amour incalculable. Je décompte avec une grande impatience les jours qu'il me reste avant que je sois supposée arriver à terme.